Et voilà, j’ai tourné la dernière page de cette saga commencée il y a plusieurs années, et que j’affectionne tout particulièrement. Je suis d’ailleurs plutôt fière d’avoir pu terminer plusieurs sagas cette année.
L’histoire en quelques mots (tome 1) : la saga se déroule sur les mers dans le monde des vivenefs, des vaisseaux magiques attachés à la famille qui les possède. A la mort du capitaine de la Vivacia, Ephron Vestrit, la succession rencontre quelques difficultés. Pendant ce temps, les serpents de mer qui infestent les océans se regroupent, et un ambitieux pirate aspire à devenir roi.
J’ai eu du mal à attendre le bon moment pour lire ce dernier tome, tant le suspens était entier à la fin du précédent : comment les chemins de nos personnages allaient-ils se croiser de nouveau ? Si la question au départ de la saga était de savoir si Althéa retrouverait enfin Vivacia, d’autres personnages ont pris de plus en plus d’importance au fil des tomes, notamment les plus jeunes Hiémain et Malta. Sans compter sur la découverte de la vraie nature des vivenefs.
Le roman est toujours aussi bien écrit, les personnages intéressants, l’univers vaste et complexe. Le petit point qui m’a déplu est un événement assez tragique qui se déroule au cours du tome, qui va impacter les personnages, mais dont je ne comprend pas bien l’utilité.
Cette saga restera sans aucun doute l’une de mes préférées. Il ne me restera plus qu’à commencer « les cités des anciens », qui est son prolongement mais dont l’intrigue portera plus sur les dragons.
Un peu de futilité 
Elle fait partie de ces sagas que j’aimerais découvrir 🙂
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